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| Photo : El-Anrif Attoumane |
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| photo de said assadi |
Le stade de Hombo est le premier stade synthétique conçu à Anjouan par la Turquie en partenariat avec la fédération comorienne de football. Il est situé à Hombo dans la capitale Mutsamudu. Il compte un terrain de foot et une piste pour les Athlètes.
Le gymnase de Missiri est financé par la Fondation SAMBI. Dans ce gymnase, on célèbre les festivités des mariages traditionnels telles que le tari ,barazangui et aussi les différentes activités sportives
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Déscription de l'île d'Anjouan
« Surnommée l'île au parfum » , Anjouan, l'île au parfum par excellence, par ces nombreuses plantes au parfum : ylang-ylang, jasmin, basilic, girofle, vanille…
Cette île occupe la 2ème position par son ancienneté ; elle est la plus montagneuse des 4 îles grâce à une forte érosion. Elle présente un relief très accidenté riche en pentes raides et en vallées étroites. Anjouan est dominée par le lac Dzialandzé qui couronne le Mont Ntrigui, culminant à 1595 m d'altitude. Admirer ses magnifiques cirques, ses plus belles cuvettes et vallées de l'archipel, surtout celle de Bambao ou de Patsi à environ 500m d'altitude, le mont Ntrigui couronné par le lac Dzialandzé.
Un millenaire d'histoire
Les sites historiques plus populaires d'Anjouan sont situés:
- La Région de Pomoni, région la plus verdoyante de l'île comporte plusieurs ruisseaux qui prennent leur source depuis le lac Dzialandzé. Le lagon de Pomoni offre aux bateaux, des entrées en eaux profondes où jadis servait de port d'esclaves.
- Foumbani, une ville fondée au 9ème s, Foumbani offre une belle plage au sable blanc, avec un port naturel qui accueillit les 1ers chiraziens débarqués à Anjouan, ceux-la même qui ont construit la mosquée de Foumbani qui date du 15ème s dont les vestiges sont encore visibles. - La région de Nioumakélé, région du Sud Ouest : Possède un Port naturel, qui a d'abord servi de débarquement des Premiers chiraziens dans la région de Noumakélé au 13ème s. C'est également le port de débarquement et d'embarquement des produits industriels de la Société coloniale de Nioumakélé.
A Nioumakélé se trouve aussi les vestiges de l'usine de sisal, immense et impressionnante encore aujourd'hui avec ses grosses machines qui servaient à broyer et à transformer le sisal en fibres, avec son tour qui abritait la machine à vapeur qui alimentait l'usine en énergie.
Il y a aussi le site Djamoidzé, où commence chaque année le Trimba, danse rituelle en l'honneur des Djinns, qui, dit-on, sont les ancêtres des anjouannais.
-Domoni, ville royale fondée au 9ème s, riche en monuments historiques. Ville natale des 1ers sultans d'Anjouan jusqu'au 18ème s, puis du 1er Président des Comores indépendants.
La ville Domoni est celèbre pour ses anciens palais princiers, construit au 17ème s, Dari mwa Dari au 18ème s ou Toiyifa 18ème s, Le Mausolée du père de l'indépendance, le président Ahmed Abdallah et Les vestiges coloniaux : usine de distillerie.
Mutsamudu, ville fondée au 15ème s, capitale économique, commerciale, administrative et militaire de l'île, riche en histoire. Visitez la medina aux étroites ruelles et à l'architecture arabe, la citadelle, ouvrage militaire construit par le sultan Abdallah I à la fin du 18ème pour protéger la ville contre les agressions malgaches. La citadelle surplombe la ville, avec ses canons incrustés dans les murailles de défense qui pointent vers la mer; la vieille mosquée de vendredi et le palais royal attenant Udjoumbé, datant du 16ème s en face de Mpagahari.
Bambao : un palais dans un parc. Ce palais est construit au 19ème s par Abdallah III dit Mawana, sultan d'Anjouan. Monarque éclairé, ouvert au progrès mondial, il développa dans la région de Bambao, une plantation de canne à sucre, fit construire une raffinerie d'essence d'ylang ylang et de jasmin, puis édifia, au bord de la mer, le palais et le parc.
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| plantation de tente sur l'île |
, "seule une volonté politique peut rassurer un développement certain via le tourisme".indique un conseiller du GroupArmadaAbdou Ahmedphotocredit Houdprod
